Archives de catégorie : Conférences

L’art du trémolo : Contextes, techniques et effets dans le développement de la musique pour le piano, 1780-1880

L’art du trémolo : Contextes, techniques et effets dans le développement de la musique pour le piano, 1780-1880

Robert Doran, professeur de littérature française et comparée (université de Rochester), directeur d’études invité à l’EPHE – PSL par Cécile Reynaud, donnera une série de quatre conférences, du 22 mai au 5 juin 2025, sur le thème de :

L’art du trémolo : Contextes, techniques et effets dans le développement de la musique pour le piano, 1780-1880

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Les « traités d’ambassadeurs » : expérience personnelle et construction d’un discours normatif (XIIIe-XVe siècle)

Noëlle-Laetitia Perret, professeure associée à l’Université de Genève, directrice d’études invitée à l’EPHE – PSL par Stéphane Péquignot pour une série de quatre conférences, du 7 mai au 5 juin 2025, et interviendra sur la thématique

« Les « traités d’ambassadeurs » : expérience personnelle et construction d’un discours normatif (XIIIe-XVe siècle) ».

 

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Anni Albers, les textiles, et l’avant-garde

Katherine Kuenzli, professeur de la Wesleyan University et directrice d’études invitée à l’EPHE – PSL par Rossella Froissart et Céline Trautmann-Waller, donnera une série de quatre conférences, du 13 mai au 4 juin 2025, et interviendra sur la thématique:

Anni Albers, les textiles, et l’avant-garde

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Incursions dans l’histoire et la critique du texte des Œuvres morales de Plutarque

Fabio Vendruscolo, Université de Udine (Italie), directeur d’études invité à l’EPHE – PSL par Brigitte Mondrain, donnera une série de quatre conférences , du 29 avril au 20 mai 2025, portant sur la thématique:

Incursions dans l’histoire et la critique du texte des Œuvres morales de Plutarque

 

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Annonce de séminaire

Arts dits primitifs en Allemagne et en Autriche 1850-1950

Ausstellungssaal China, Museum für Völkerkunde, 1928, KHM-Museumsverband (https://www.weltmuseumwien.at/ueber-uns/geschichte/)

Dans le cadre du séminaire de Céline Trautmann-Waller Arts dits primitifs en Allemagne et en Autriche 1850-1950, Madame Veronika Stachel – doctorante de l’université de Vienne actuellement accueillie à Saprat – présentera  une communication en anglais sur ” Les débats autour de la salle des arts asiatiques du musée d’ethnologie de Vienne ” le mardi 25 mars 2025.

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William Le Baron Jenney

William Le Baron Jenney (1832-1907): Pioneering Engineer and Influential Academic

Séminaire de l’Architectural History Working Group

 

Dans le cadre de l’Architectural History Working Group (AHWG), Jean-François Belhoste interviendra sur William Le Baron Jenney (1832-1907): Pioneering Engineer and Influential Academic le 26 février 2025 à partir de 10h30 [heure de Toronto] – en visioconférence.

Jean-François Belhoste est l’auteur de nombreux ouvrages sur l’histoire des techniques, avec un intérêt particulier pour la métallurgie et le béton armé. Sa dernière contribution, un volume codirigé avec Isabelle Parizet intitulé L’invention du gratte-ciel à Chicago, a été publiée en 2024.
L’Architectural History Working Group (AHWG) de l’université de Toronto explore l’histoire de l’architecture dans des contextes temporels et géographiques différents. L’AHWG accueille tous les membres de la communauté scientifique de l’Université de Toronto.

 

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Héraldique et altérité en contexte colonial et post-colonial

Dans le cadre du séminaire de Laurent Hablot, Metelo de Seixas (Universidade Nova de Lisboa) – directeur d’études invité par l’EPHE – interviendra pour une série de quatre conférences sur le thème “Héraldique et altérité en contexte colonial et post-colonial” du 10 au 24 janvier 2025.

L’étude portera sur le rôle que ce code emblématique européen a joué dans l’établissement d’une relation avec l’Autre dans le contexte colonial. D’abord comme instrument d’appropriation symbolique des territoires d’outre-mer, puis comme médiateur entre la Couronne de Portugal et les potentats locaux, ensuite comme culture visuelle associée aux mouvements indépendantistes, enfin comme élément emblématique d’identité post-coloniale.

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Annonce de séminaire

Annonce de séminaire

Pratiques médiévales de l’écrit documentaire

 

Dans le cadre de la conférence de Laurent Morelle, Thomas DESWARTE – Professeur à l’Université d’Angers (TEMOS – UMR 9016) – présentera à l’EPHE une conférence intitulée

« Le surgissement de la ‘grande histoire’ dans les préambules/exposés d’actes léonais (Xe-XIe s.) »

le mardi 10 décembre 2024, de 11h à 13h, École pratique des Hautes Études en Sorbonne, escalier E 1er étage, salle d’Histoire (D052).

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Vers une histoire de la physiognomonie 1200-1500

Joseph Ziegler, Université de Haïfa, Directeur d’études invité à l’EPHE – PSL par Nicolas Weill-Parot, donnera une série de quatre conférences du 12 novembre au 02 décembre 2024 et interviendra sur le thème:

Vers une histoire de la physiognomonie 1200-1500

Habituellement, les histoires de la physiognomonie occidentale commencent par la Grèce antique et sautent par-dessus le Moyen Âge pour arriver à la Renaissance, considérée comme la deuxième étape importante de l’histoire. Mais que s’est-il passé à cet égard au cours du millénaire intermédiaire ? Le conférencier soutient que la physiognomonie classique a été transformée entre le XIIIe et le XVe siècle par les philosophes et les médecins scolastiques et qu’elle a préparé le terrain pour le déferlement des textes physiognomoniques au XVIe siècle. Il souhaite combler la lacune médiévale dans l’histoire de la physiognomonie et reconstruire l’essor d’une nouvelle science dans le contexte scolastique de la période v. 1200 – v. 1500. Les quatre conférences exposeront quatre projets de chapitres de son livre à paraître sur l’essor de la pensée physiognomonique entre 1200 et 1500.

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“Demandez le programme !”

“Demandez le programme !” Être spectateur et spectatrice de théâtre à Paris au XIXe siècle

Conférence

 

Conférence de Jean-Claude Yon, Laurène Haslé et Delphine Foch le mardi 5 novembre 2024.

Au XIXe siècle le théâtre est le loisir favori des Parisiens. Cette conférence à trois voix, en s’appuyant notamment sur les exemples du Théâtre du Gymnase et du Moulin Rouge, permettra de s’immerger dans l’ambiance des salles de spectacle et de découvrir les publics variés qui les fréquentaient.
La France du XIXe siècle, et au premier chef Paris, est une « dramatocratie », c’est-à-dire une société où le théâtre occupe une place centrale. Une véritable « industrie théâtrale » y prospère, fournissant des milliers de pièces à l’ensemble du territoire et au monde entier. Ce répertoire, capable de séduire les publics les plus divers, s’adresse cependant tout d’abord aux spectateurs parisiens qui, soir après soir, viennent rire et pleurer dans les nombreuses salles de spectacle de la capitale. Mais qui sont ces spectatrices et ces spectateurs parisiens du XIXe siècle ? Comment se déroule pour eux une soirée au spectacle ? En prenant comme exemple le Théâtre du Gymnase et le Moulin Rouge, on y verra que, même si les salles de théâtre du XIXe siècle nous semblent familières (car bon nombre sont encore en activité et constituent un patrimoine architectural remarquable), nous ne les fréquentons pas de la même façon que nos prédécesseurs.